| PRÉNOM • Lilou NOM • Enya SEXE • Femme ORIENTATION SEXUELLE • Inconnue ÂGE • 22 ans RACE • Renarde à neuf queues ____________________________
GROUPE • Citoyenne MAGIE • (Non obligatoire)
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L'équipement de votre personnage.
Venant d’une famille pauvre, Lilou ne possède pas grand chose. Quelques tenues simples et un uniforme de serveuse du bar pour lequel elle travaille.
Elle possède aussi un petit médaillon avec en son centre un saphir. Ce bijou lui vient de sa grand mère et elle y tien énormément.
Physique de votre personnage
Comme vous l’avait surement remarquez, Lilou est une jeune renarde à la fourrure majoritairement blanche. Seules ses avant bras et mains sont de couleur bien plus sombre, donnant l’impression qu’elle porte des mitaines. L’extrémité de ses oreilles et de ses queues le sont aussi. Ses queues oui, car Lilou n’est pas une renarde banale, elle possède en réalité neuf queues. Il paraitrait que c’est héréditaire et qu’elle tiendrai ça d’un parent éloigné. Certains disent que c’est ce qui fait son charme. A se tableau se rajoute ses long cheveux de même couleur que ça fourrure qui se déroulent le long de son dos jusqu'à ses reins.
Ces yeux améthyste à moitié cachés par une mèche ainsi que son sourire sont une arme qu’elle utilise souvent afin de séduire et inciter ses clients à consommer.
Pour ce qui est vestimentaire, la jeune renarde ne cherche pas à impressionner et reste très sobre. Lorsqu’elle travail, elle porte le plus souvent un chemisier de couleur claire et l’équivalent d’une jupe lui arrivant aux genoux. Si le temps est frais, il lui arrive de se couvrir les épaules d’un châle. Pour le quotidien, ça sera plutôt une tunique et un pantalon simple.
Psychologie de votre personnage
Notre serveuse est de nature calme et timide, mais elle possède tout de même un caractère bien à elle. La chercher n’est pas une des meilleurs choses à faire car même si il est vrai que Lilou n’est pas bien musclée, elle a tout de même une certaine répartie orale qui en trouble plus d’un. Il lui arrive aussi d’être maladroite et de perdre tout ses moyens lorsqu’elle se laisse submergé par le stresse.
Notre amie fait partie de ses gens, qui malgré tous, sourient à la vie, même si celle-ci n’a pas toujours était des plus agréable. Elle aime penser qu’un sourire chasse tous les maux. Vivante et bon publique, elle apprécie les blagues et sottises que peuvent dire les clients. Même les plus pesant et malotrus l’amuse, comme elle le dit souvent à ses collègues, il vaut mieux en rire qu’en pleurer. Vous l’aurez compris, cette jeune femme et du genre optimiste.
L'histoire de votre personnage
Il était une fois…
L’histoire que je vais vous compter n’est en rien extraordinaire, ni merveilleuse. Pas de princesse, pas de prince pourfendeur de dragon, simplement l’histoire d’une jeune fille ordinaire vivant dans les bas fond de Risua.
Ainée de deux soeurs et d’un frère, fille d’un forgerons et d’une commerçante, mon enfance fut bercée par les bruits de forge et les nombreux inconnus qui venaient acheter les armes, armures et autres objets que mon père fabriquait et que ma mère revendait. A cette époque, je passais le plus claire de mon temps avec ma mère dans la boutique, courant et souriant à tous. Mes neuf queues impressionnaient toujours et ma mère se plaisait à raconter que cela devait surement venir d’une de ses grands-mères. Je préfère ne pas vous cacher que ma mère était une véritable pipelette et que la moindre excuse pour parler était de mise. Surtout qu’elle avait le don pour embobiner les clients, et les faire acheter plus que nécessaire. Quand mon âge me le permit, j’appris à tenir la boutique pour soulager ma mère et surtout lui permettre de s’occuper de mes petit frère et sœurs mais les odeurs des forges me devinrent rapidement insupportable. Finalement, je n’étais peut être pas faite pour ce travail.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille
Grandissant dans l’insouciance, Je fus, au cours de ma dix-septième, ramener à la dure réalité par ce qui sera le début de bien des maux. Tout commença avec ce qui est sans doute, l’hivers le plus froid de mon existence et l’un des plus triste. Accablé par le gèle, la neige et le manque de vivre, ma plus jeune sœur tomba malade et aucun remède ne la soulagea. Impuissant, nous fûmes réduit à de simples observateurs contraints de regarder la fièvre emporter un être qui nous est cher. Mon père, rongés par les remords et la tristesse n’arrivait plus à travailler le métal aussi bien qu’à la grande époque et mon jeune frère était encore trop jeune pour reprendre son flambeau. Aveuglé par ses larmes, il se brisa la main d’un mauvais coup de marteau et dû abandonner son métier. J’avais alors tout juste 18 ans. Rapidement le commerce de mes parents fut fermé.
Tombant de caribe en scylla, la misère s’empara de nous, et bien que j’avais peur, bien que moi aussi j’étais effondré, je du trouver un travail. Je me refusais à voir mes parents sombrés de la sorte… Je fus donc engagé en temps que serveuse au « Repos du Voyageur » Auberge réputée pour son hypocras, son tableau d’annonce pour aventurier aguerrie mais aussi pour certain supplément qu’il offre à qui peut payer. Bien entendu, je ne fais pas parti du dernier point.
Renaissance
J’ai aujourd’hui 22 ans, et je ne vis plus avec ma famille, je passe le plus claire de mon temps à l’auberge où je travail. Quand je ne suis pas de service, Amy, une collègue et amie, m’apprend la dance et à jouer de la harpe. Pour elle, ça aide à faire le vide après une journée de travail difficile et je dois avouer que l’entendre jouer est très agréable. J’espères, un jour savoir jouer comme elle.
Avec le temps, mon père avait réussit à faire son deuil. il commença alors à enseigner son savoir à mon frère. Bien que ces durent années sont derrières nous, leurs marques resterons à jamais gravées sur nos visages et dans nos cœurs. De nature optimiste, je suis là seule à savoir encore sourire et cela me vaut certains reproches… comment pourrais-je leur en vouloir ?