Passage forcé à l'infirmerie ( avec sélène )

Alors que la pluie continue de tomber à flot nous laissons derrière nous la scène de notre combat, les deux cadavres des frères encore chaud. Nous poursuivons notre route vers le fort de la milice, car nous devons soigner nos blessures aussi futiles qu'elle soit chez sélène. Lors de notre discussion précédente j avais proposer à Sélène de venir prendre un verre avec moi après le passage à l infirmerie pour la remercier au sujet de mon épée brisée, elle a répondus avec un doux rire et accepte avec comme motif que ça nous permettrait de faire plus ample connaissance pour évité la confusion de cette nuit. Je lui réponds par un grand sourire chaleureux.

- Ça me fait plaisir !

Après plusieurs minutes de marche, nous apercevons le fort de la milice devant nous. A notre vue les gardes de nuit de la milice viennent nous aider enfin surtout moi. Sélène soulagé de mon poids demande à l’autre milicien de m'emmener à l'infirmerie, elle ajoute qu'elle m'y rejoindra après avoir pris une tenue plus habillée, il est vrai qu'elle n'était pas très vêtue elle a surement attrapé froid. Les gardes m'amènent donc devant le médecin de la milice avant de repartir à leur poste. Le médecin m'observe un petit moment puis dit 'Comment avez-vous fait pour finir dans un état pareil ? '

- Je suis tombé sur une fine lame doc. Il a principalement visé mes articulations pour m'immobiliser.

- Je vois bien ça, mais vous l avez sans doute aidé en forçant après avoir reçu c'est blessures je me trompe ?

- Non vous avez raison comme toujours doc.

- Bien au moins tu as de la chance ce n’est pas tranché ça va guerrier vite juste je vais devoir traiter les plaies. Allé déshabille toi .

Le doc demande j'exécute me rappellent le conseil de sélène ' écoute le médecin de la milice sinon il va te tirer l'oreille '. Je détache donc ma tenue de cuire qui protégeais mon tors et la dépose au pied du lit, je retire les protections le long de mes bras et  détache ma ceinture. Mon Haut est à nu, mais le médecin revient à l assaut et me demande de retirer mon pantalon pour examiner mes jambes, je m'exécute de nouveau et enlève mon large pantalon découvrant mes longues jambes musclées. Me voilà avec pour seul habit qu'un simple linge pour garder mon intimité, ma fourrure trempée mélangée au sang séché, et mon corps couvert de blessures ajouté à ça les nouvelles de cette nuit et d'autre plus légère qui sont déjà refermé. Le doc s'approche de moi et commence les soins sur mon corps.

-Dite doc c'est blessures m'empêcherons de sortir ce soir ou non ?

Le doc me regarde avec un air interrogateur avant de me répondre

- Non ça devrait le faire sauf si tu as pour objectif de t'en donner à cœur joie au point de finir dans une bagarre.

Un profond rire me prit.

- Ne vous inquietez pas ce n’est pas mon intention.

Au même moment j'entends une personne arrivée et entrée dans l infirmerie.

Une fois changer et un peu sécher, je me dirige vers l’infirmerie où je rentre doucement au cas où il y a des patients qui dort. Mais finalement non, il n’y a que le médecin et Ender, complétement nu, enfin, un linge couvre son intimité pendant que le médecin le soigne. Je m’avance doucement vers le duo en disant :

- Alors docteur, mon coéquipier va être à nouveau sur pattes ? Il m’a promis un verre après être passé entre vos pattes.

Le doc lève les yeux vers moi en soupirant un peu, attrapant mon bras en relevant ma manche, regardant la longue griffure présente dessus en disant :

- Oui, il va l’être, mais je dois aussi vous soignez aussi et arrêter de revenir dans ce genre d’état, vous allez devenir des poupées toutes raffistolés après.

Soupirant avant d’aller chercher de quoi me désinfecter et recoudre. Pendant ce temps, je m’assoie au côté du renard et lui demande :

- ça va Ender ? Pas trop mal malgré tout, je voulais encore te remercier encore de m’avoir aidé, je n’aurai surement pas pu les vaincre seule.

Le pensant vraiment, avant de grimacer quand le médecin a commencé à me recoudre à vif, me regardant l’air de dire « cela vous apprendra à vous blesser autant ».

Voilà Sélène qui entre dans l'infirmerie. Je me sens un peu gêné par ma tenu, mais je me rassure en me disant qu'elle en a surement vu d'autre. Elle s'avance doucement vers moi et le médecin en s'adressent au doc demandant si je serai à nouveau sur patte. Le médecin examina Sélène du regard et dans une fraction il attrapa son bras et vus une longue griffure après avoir relever sa manche. Le médecin se relève et part chercher de quoi désinfecter et recoudre la blessure de Sélène, pendant ce temps elle en profite pour s'assoir à côté de moi.

Une foi assise a coté de moi elle me demande si je vais bien et me remercie une nouvelle foi de l'avoir aidé, car elle dit qu'elle ne s'en serait pas tirée toute seule. Le médecin revient avec de quoi traiter Sélène et commence à lui appliquer les soins, je la vois grimacer tu m'étonnes que ça doit faire mal.

- Oui je vais bien puis le doc a dit que je pourrai sortir.

Le médecin me regarde d'un air provocateur avant de soupirer et continuer de traiter Sélène.

- C'était normal que je te vienne en aide j'allais pas te laisser te faire trucider pour que ces monstres souillent ta dépouille après. Rien que d'y penser j'ai la nausée.

Je me lève et attrape mes vêtements, mais le médecin m'arrête dans la foulée.

- Pas touche ! Je dois encore te laver, ta fourrure est toute poisseuse et couvert de sang.

Je le regarde d'un air interrogateur.

- Mais je sais me laver seul que je sache ? Non ?

- Essaye de te touché le haut du dos va s'y je te regarde.

Avec une pointe de soupçon j'attrape l'un des gros blocs de savons dans l'infirmerie et tente de me frotter le haut du dos avec, mais il avait raison je suis bloqué, je n'arrive pas et le désespoir ma gagne avec les yeux ronds, les oreilles abattues et la voix faible abattue je dis

- Je n’y arrive pas...

- Je te l'avais dit c'est pour éviter que tes blessures ce rouvres donc tu attends sagement que j'ai fini ici puis je m'occupe de toi et après seulement vous pourrez allé prendre votre verre compris ?

- Compris doc...

Je me sens très nul d'un coup.

Ender me dit qu’il va bien et pourra même sortir, s’attirant les foudres du médecin au passage. Ensuite, il dit que je n’ai pas à le remercier, que cela est bien normal, afin que je ne sois pas souillée après avoir été tuer. Un frisson me parcoure en imaginant le truc, mais surtout le corps des deux quand Abyss s’en serai occuper en représailles. Mais passons cela, secouant rapidement la tête pour chasser cela de mon esprit.

Par contre, je glousse quand le médecin lui fait comprendre qu’Ender n’est pas près de quitté l’infirmerie, devant d’abords le lavé. Preuve à l’appui, le renard ne pouvant pas bouger convenablement. Je compatis ensuite à mon collègue, lui tapotant doucement l’épaule alors que le doc me bande le bras fraichement recousu en disant :

- Aller, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, je vais attendre sagement. Après tout, il faut bien être propre pour inviter quelqu’un à boire un verre.

Avant de demander au médecin :

- D’ailleurs, vous voulez que je vous laisse le temps de le laver ? C’est quand même quelque chose d’intime malgré tout et je ne veux pas déranger ou faire du voyeurisme.

Attendant maintenant la réponse des deux, alors que je regarde mon bras bandé fraichement soigner.

Dans mon désespoir j'entends Sélène gloussé, elle doit surement se dire que la situation est comique. Comme preuve de bonne foi, elle me tapote l'épaule afin de me soutenir dans ce calvaire. Le médecin surenchéri en me disant que ce n'est qu'un mauvais à passer, j'aimerai bien t'y voir toi à ne pas pouvoir te laver tout seul, mais il a raison sur une chose je me dois  d'être propre et présentable pour aller prendre un verre avec Sélène. Je regarde mes vêtements il est vrai que ce n’est pas approprié pour sortir. Sélène prend la parole et demande si elle doit nous laisser le temps de mon lavage forcé en disant que c'est une chose d'asse intime.

- Ca me gène pas. De toute façon tu as vu comment je suis vêtu actuellement ? Ça ne peut pas être pire.

Soudain le médecin se mit à rigoler

- Effectivement de plus tu pourrais lui montrer comment soigner l'allure de l'amas de fourrure qu'il a autour du cou, elle me donne l'impression qu'il n'en prend jamais soin.

Je regarde le médecin montrant les crocs suivis  d'un léger grognement un peu énervé.

- Demande-lui de me laver temps qu'on y est non ?  

Elle va finir par me prendre  pour un assisté à force...

Ender dit que cela ne le dérange pas que je reste, après tout, j’ai presque tout vu, enfin, sauf ses bijoux de familles. Mais je ne peux retenir un long sourire sous les paroles du médecin, décidant même de jouer le jeu, surtout après les paroles du renard :

- Pourquoi pas Doc, en plus, j’ai une huile d’un petit artisan qui fera des merveilles sur la fourrure, je l’utilise surtout pour faire briller mes écailles, mais aussi sur les nœuds récalcitrants sur ma queue. Je vais aller la cherché, je vous laisse commencer à le laver, je n’en ai pas pour longtemps.

Mais avant de partir chercher cette fameuse huile, je fais un large sourire à mon collègue, un poil moqueur, avant de lui dire en lui tapotant l’épaule :

- Tu vas voir Ender, quand on en aura fini avec toi, tu vas avoir un vrai harem autour de toi quand on ira boire notre verre, je peux te le garantir.

Et de partir, non sans faire un clin d’œil au médecin qui rajoute de façon bien audible :

- Si vous pouviez me ramener aussi une de vos brosses à poil, vous devez être mieux équipé que moi afin qu’on puisse le brosser comme il faut.

Les laissant seuls le temps d’aller dans mon bureau prendre ma trousse de toilette, vérifiant que dedans, il y a bien la fameuse huile dont j’ai parlé ainsi que mes brosses, retirant juste ceux pour lustré mes écailles avant de les rejoindre, disant bien haut et fort en les cherchant :

- Ender ! Doc ! Je suis là avec ce que j’avais promis d’apporté, vous êtes où ?

Cherchant l’endroit où le doc s’occupe de laver notre cher renard ne pouvant rien faire tout seul pour l’instant. Me demandant bien si je vais le retrouver déjà savonner de la tête aux pattes.

Je râpe ma main le long de mon visage. Dans quoi je me suis embarqué moi ? Bon de toute façon elle est assez mature et sensée pour ne pas rentrer dans le jeu du médecin. QUE JE SUIS CRÉDULE MOI ! Elle se propose même d'aider le doc dans cette torture. Infamie ! Qu'ai je fait pour mériter tel de souffrances . Sélène parle d'une huile de je sais pas trop quoi j'ai pas bien écouté trop pris par mon désespoir, mais quand je le vois me regarder avec un grand sourire je me dis que ça ne peut qu'être mauvais pour moi. Elle vient me taper sur l'épaule en médisant que quand elle aura fini j'aurai un vrai harem autour de moi, le faite que je ne sois pas rassuré est normal je présume.Le médecin profite du faite que sélène doive allé chercher son "huile" pour lui demander de prendre une brosse. Récapitulons si vous le voulez bien.... LAVAGE, BROSSE, HUILE, mouai je vais finir pomponné moi je dois trouvé un moyen de m'enfuir de là.

- Bien, va te mettre dans la pièce au fond à droite.

Je m'exécute à contrecœur toujours en réflexion sur comment je vais me tirer de là. Je rentre dans la pièce. Je sais je vais profité de ma vitesse pour sortir en vitesse enfermer le doc dans cette petite pièce m'habiles rapidement avant que Sélène revienne j'en profite pour écrire un mot que je mets sur la porte puis trouve un moyen de me décrasser et alors .... un bruit sourd de porte ce fait entendre suivit de celui d'une clef dans une serrure je me retourne et me voilà enfermé seul. OH le fumier !

- Tu te tiendras tranquille comme ça, je me doute bien que tu vas chercher à t'évaporer et que je n'arriverai pas à te retenir seul. Tu vas donc attendre gentiment que sélène revienne. Profite s'en pour te tremper avec la bassine qui se trouve dans un coin de la pièce.

- je vous jure que si je sors d'ici je vais vous en faire voir de toute les couleurs !

Bon je suis coincé plus le choix la reddition est de mise je prends la bassine et me trempe d'un coup sec, mais l'eau est bouillante. Je lâche un cri de rage.

- Oh j'ai oublié de te dire que l'eau est très chaude.

- Doc j'espère que vous n'este pas le seul médecin ici ce soir, car au moment même où cette porte s'ouvre je vous chope et vous plonge dans de l'huile bouillante comme il faut pour faire frire n'importe quoi. Après ça je vous tranche et fais du ragout avec ce qui restera de vous pour le donner au citoyen de la basse ville.

Au même moment où je parle sélène est revenue et demande où nous somme avec le doc et celui-ci répond avec un sourire

-moi je suis là et lui là-dedans, mais je me risquerai pas à entrer si t'écoutes bien je pense qu'il veut ma mort.

Alors que je reviens, le doc se manifeste toute suite, m’avouant avoir enfermé Ender dans la pièce derrière lui et que ce dernier semble d’une humeur massacrante, entendant ses menaces contre le médecin qui me confirme la chose. Je glousse et prend ce qu’il faut laver le renard en disant :

- Eh bien, pour votre sureté, je vais passer devant et le maîtrisé. Pas que je ne veux pas le faire entièrement moi-même, mais je suppose qu’à cause de ses blessures, il faut faire attention.

Attrapant la clé que je mets dans la serrure, frappant à la porte en ajoutant délicatement à Ender :

- Aller, soit sage et ne fait pas l’enfant, plus tu seras coopératif et plus vite tout cela sera fini d’accord ?

Avant d’ouvrir délicatement, le doc derrière moi, préparant ma magie pour le saucissonné avec un lien d’eau. Une fois que nous sommes tous les deux dedans, armé pour le laver, brossé et rincer, je verrouille à nouveau la porte et avance la première en terminant sur :

- Tu ne vas rien faire au doc, qui ne veux que ton bien et on va faire en sorte que tu sois aussi propre que possible sans te blesser.

Ayant déjà en main de quoi le shampooiné et le doc, de quoi le savonné, on verra après l’avoir décrassé pour le brossage et l’huile pour sa fourrure. Aller Ender, soit un gentil renard obéissant et tout ira très bien, ce n’est qu’un mauvais moment à passer après tout.

Bon je sens sélène derrière la porte, elle vient d'arriver et je l'entends derrière la porte parler avec le doc. Sélène prend la clef au doc et ouvre la porte et ajoute délicatement à mon égard de rester calme et sage et que je dois être coopératif, oh tu me connais pas ma grande, pour faire l enfant je suis fort et je trouve ça très drôle. Elle entre avec le doc je le sens et elle prépare une sorte de magie aqueuse. Le truc bien avec l'eau c'est que ça change d'état asse aisément de plus on est dans une petite pièce et avec l eau bouillante de notre ami le doc les possibilités sont nombreuse.

Elle s'approche de moi en me disant qu'elle veut que je sois propre, mouais ELLE VEUT ME PONPON OUAI !

-Je ne suis pas une poupée !

Je prends le bac d'eau bouillante qui reste et le jette sur les parois chaudes de la pièce, l'eau s’évapore presque immédiatement dans un épais nuage de fumée. Je profite du moment pour tenter de m'échapper, mais glisse sur le bloc de savons que le doc à lâche dans la confusion générale et je termine ma course en glissant sur le ventre vers la porte que je ferme en la percutant avec ma tête et par je ne sais qu'elle mal chance la porte se bloque nous enferment tout les 3 à l'intérieur dans une pièce pleine de vapeur d'eau. Je ne trouve qu'a cette situation un:

- Oops ! J'ai gaffé !

Roh, toute suite, je veux juste que tu sois propre, rien d’autre, je ne faisais que le taquiner pour le reste. Mais malgré tout, il passe à l’attaque, nous lançant le bac d’eau chaude. J’esquive facilement l’attaque avec ma magie, qui se retourne rapidement vers lui pour l’attrape… Avant d’exploser de rire à nouveau en le voyant glisser sur le savon et finir de fermer la porte avec sa tête, nous bloquant tous les trois dans la pièce sur le coup.

Le doc soupire plus que fortement, reprenant son sérieux avant de dire en grognant un poil :

- Bon sang Ender, vous avez vraiment pensé que nous allions vous pouponner comme une poupée ? On vous faisait marché et vous avez couru droit dans nos plaisanteries.

Me jetant un regard un poil noir car je ris encore, me faisant reprendre à mon tour mon sérieux avant de rajouter en nettoyant un peu l’endroit, rassemblant toute l’eau dans le bac :

- Ender, on voulait seulement t’embêter quand on a vu à quel point tu n’avais pas envie qu’on te lave et « pomponne » un peu.

Je soupire un peu, allant aider le doc a relevé Ender qui soupire en voyant la bosse de ce dernier, l’installant sur un tabouret pour voir s’il ne sait pas rouvert des plaies en disant :

- Nous allons quand même te laver, vu que tu nous as enfermé, autant en profiter avant qu’on rouvre et arrêter de faire des conneries.

Appuyant les paroles du doc et rapproche le bac de lui en reprenant le savon ainsi qu’un gant à fourrure en terminant avec :

- Promis Ender, je ne vais pas te pomponner, je vais seulement laver le sang que tu as sur toi.]

Ne disant pas que je vais quand même m’occuper de sa fourrure autour de son cou car il en a vraiment besoin et que cela prendra deux minutes avec mon huile. J’attends donc l’aval du doc et d’Ender pour commencer à laver se dernier, histoire d’éviter une nouvelle crise.

j'ai mal à la tête. Je tâte le sommet de mon crâne et je sens une bosse, je ne me suis pas loupé. Pourquoi ce crétin de médecin a-t-il lâché le bloc de savons à terre, c'était un tour à me tuer sur le coup, heureusement que j'ai la tête solide rien ne semble rouvert et mise à part la bosse je ne ressens pas de douleurs particulières. Le doc pris la parole à mon égard en disant qu'ils me faisaient marcher, pas très malin si vous voulez m’ont avis, sélène confirme ce que dit le doc et qu'ils voulaient simplement me laver. Après ce petit accident ils m'aident à m’asseoir sur un tabouret pour commencer leur objectif premier, sélène rajoute qu'elle n'a pas l'intention de me pomponner, mais je sens que ça sonne faux. Je me laisse donc faire et ils commençant leur soins quand un garde de la milice ouvre la porte sans se demander pourquoi elle était fermée avec trois guignols dedans, apparemment une bagarre entre deux ivrognes dans une taverne qui avait mal tourné.Le médecin sort donc de  la pièce demandent à sélène si elle peut se débrouiller seule pour le reste.

- Ce n’est pas comme ça que j'imaginais les choses. Comment j'ai pu être aussi crédule ? Bon on va dire que ce lavage est le prix à payer pour avoir aidé voir sauver quelqu'un ce soir.

Je me résigne donc et laisse faire les choses sans broncher. Un mal pour un bien, mais le verre que je prendrai après sera plus que le bien venu, j'en ai bien besoin moi. La vapeur d'eau est vraiment chaude à la limite de l'insupportable.

- Comment tu fais pour supporter cette chaleur ?

Il est vrai que je préfère le froid à la chaleur, mais là ce n’est vraiment pas tenable pour moi.

Alors qu’Ender se laisse faire, nous sommes interrompus par un collègue milicien venu cherché le doc à cause d’une bagarre qui a mal tourné, me laissant donc seule avec le renard, me faisant confiance pour m’occuper de lui. Après un signe de tête pour dure que tout ira bien, je le regarde partir, disant quand même :

- j’en fais mon affaire doc, aller vous occupez des blessés.

Avant de me concentrer sur Ender qui dit ne pas avoir imaginé tout ça comme cela, affirmant même que c’est le prix à payer pour avoir sauvé quelqu’un se soir. Je souris et commence à le laver doucement en disant :

- Non, c’est le prix de servir la justice car on n’est pas recouvert de sang dès qu’on sauve quelqu’un, sinon on s’habillerai en rouge pour que les tâches se voient moins et je me teindrais en rousse.

Et on ne vaudrait pas mieux que ses assassins et bandits de la pire espèce qui s’en fiche du nombre de mort derrière eux. Par contre, alors que je le savonne comme il faut, Ender me surprend avec sa question sur la chaleur. Cela me fait sourire et répond doucement en montrant les écailles dans mon cou et sur mon bras :

- Je suis à moitié dragon et ses derniers ne craignent pas le chaud et la chaleur. De plus, je ne sais pas si tu l’as remarqué, mais en règle générale, les femelles aiment beaucoup l’eau chaud pour se laver, donc cela me dérange encore moins, j’apprécie même.

Continuant de le laver, passant de devant à derrière, dans son dos, prenant discrètement mon huile pour m’en enduire les mains et commencer à passer mes doigts dans son pelage épais au niveau du cou. D’ailleurs, pour un peu le distraire de ce que je fais, je lui demande :

- Vu que le doc est parti, je te laisse laver sous la ceinture ? Ou je m’en occupe aussi ?

Avec le ton le plus sérieux du monde, après tout, si je lave, je lave partout, même à cet endroit. Au pire, j’utiliserai ma magie pour ne pas y touché, les hommes peuvent être tellement sensible qu’on ne sait jamais. Je continue alors de m’occuper tranquillement de son cou avant de savonner son dos en attendant sa réponse.

La chaleur me prend de plus en plus la tête, je n'aime vraiment pas ça, mais je dois faire avec. Sélène reviens sur ce que j'ai dit plus tôt en disant que c'est le prix à payer pour servir la justice, car nous ne somme normalement pas recouvert de sang après avoir sauvé quelqu'un et elle a raison. Après lui avoir posé la question sur comment fait elle pour résister à la chaleur, elle me fit observé son côté dragon quel débile je fais moi c'était évident, mais elle rajoute également que ça tien de son coté féminin et qu'elles aiment généralement l'eau chaude. Je sens les mouvements de Sélène qui me savonne le corps que ce soit devant ou derrière je ne dirai pas que ce n'est pas agréable, car ça l'est, mais je me sens quand même gêné. Une faible odeur commence à me piquer le nez, un soupire ma gagne elle a quand même utiliser son huile dans la fourrure de mon cou. Alors qu'elle commence à s'occuper de la fourbure de mon cou, elle me pose une question des plus étrange, je ne m’attendais vraiment pas à ça, elle me demande si je devais laver moi même mon intimité ou si elle devait le faire.

- Je pense que ça ne serait pas sage. Je ne pourrai surement pas resté indifférent à cela si tu vois où je veux en venir, pas que j'ai des idées mal placées ou quoi hein ! Mais ça en serait sans aucun doute gênant pour nous deux d'en venir là.

Il est vrai qu'elle est très attirante, mais je ne peux me permettre cela. Même si ça ne me dérangeait pas, mais nous somme dans le fort de la milice ce n’est pas très privé, je ne la connais que depuis peu et la situation est plus qu embarrassante. Je la laisse continuer de me savonner c'est toujours aussi agréable sentir sa main entre les poiles de ma fourrure, je ferme les yeux et lève la tête, ma queue bat l'air ce qui prouve que j'apprécie cela. Finalement je pense ne pas regretter  cette situation.Une question me trotte dans la tête quand j'y repense

- Juste par curiosité tu as eu le temps de te laver toi depuis qu'on est rentré, car je suis le seul à y passer actuellement.

Je la regarde avec un air neutre montrant l'innocence de ma question qui est purement alimenté par la curiosité.

On est d’accord, ce ne serai pas sage et prudent qu’on s’aventure sur cela. Avouant que même s’il n’a pas d’idée mal placé, il ne pourra pas non plus rester indifférent. Je reste donc sur son dos et son cou, le lavant tranquillement en passant de temps en temps sur ses bras, son torse et son ventre, afin de bien le lavé quand même. Au faite, finalement, Ender semble apprécier de se faire laver, car le voilà levant le tête en fermant les yeux pendant que sa queue remue derrière lui.

Cela me fait sourire et continue sagement, même si le moment du rinçage ne va pas tarder. Mais avant, il me pose une question sur ma propre hygiène, lui répondant alors :

- Je me suis rapidement rafraichi et surtout sécher avant de me changer, donc non, je ne me suis pas lavé comme je le fais avec toi actuellement. Je préfère attendre d’être chez moi.

Allant cherché rapidement une brosse pour m’aider à retirer le sang de ses poils tout en démêlant un peu, histoire de tout faire d’un coup, le savon et l’huile allant aider à cela, permettant de ne pas lui tiré trop sur les poils. Demandant alors :

- Sinon, tu s’es déjà où aller ensuite pour notre verre ? J’aime bien découvrir de nouvelle adresse et dit moi quand tu es prêt pour le rinçage.

Tout en lui brossant un peu les poils en attendant des réponses tranquillement.

Mon lavage suit son cours, toujours aussi agréable de sentir encore ces frottements sur les différentes parties de mon corps. Je la vois sourire, elle a dû remarquer que j’appréciais ses soins. Elle me dit qu'elle sait rapidement rafraichi et sécher avant de se changer donc qu'elle ne s'était pas lavé, mais attendrai de rentrer chez elle pour prendre soin d'elle, ce que je comprends parfaitement. Je la regarde avec un léger sourire.

- Moi qui pensais que les Femmes aimaient l'eau chaude. Je te taquine, mais la prochaine fois c'est moi qui te lave.

Sélène ce lève et par chercher une brosse pour continuer les soins de ma fourrure et en profite pour me demander où nous irions boire notre verre.

- Pour être franc, je ne connais rien au divertissement de Risua, j'ai passé toute ma jeune vie à m’entraîner pour devenir milicien et racheter les fautes de ma famille. Je n'ai donc jamais pris de bon temps. On aura qu'a laisser nos pas nous guider.

Après cette brève conversation je lui fi signe que j'étais près pour le rinçage.

Je glousse quand il me dit que la prochaine fois, c’est lui qui me lavera, si bien que je rétorque :

- Il faudra que je ne puisse vraiment pas me laver toute seule pour que tu le fasses, car je ne me laisse pas laver comme ça.

Lui boopant le museau avant de le rincer à grand eau à l’aide de ma magie pour lui faire une sorte de pluie soutenu au-dessus de lui. Une fois fini et qu’il n’y a plus une trace de savon sur lui, je prends une serviette sèche et la lui met sur la tête en ouvrant la porte pour laisser la vapeur s’échappé un peu avant de dire :

- je ne penses pas que tu es besoin de moi pour te sécher, je vais aller te chercher tes vêtements pour qu’on puisse enfin aller boire se verre, car pour être franche, je commence à être assoiffé…

Mon ventre gronde de façon audible, ce qui me fait rajouter un peu rouge de gêne :

- et à être affamé, donc autant y aller avant qu’il ne soit trop tard, la nuit commence à être bien avancer.

Sortant tranquillement pour lui laisser un peu d’intimité et prendre ses affaires… Mais en les voyant, eux aussi tâcher de sang, je lui demande depuis ma position :

- Heu… Tu n’as pas d’autres affaires pour sortir ? Car ils sont couverts de sang tes fringues, maintenant que tu es propre, se serai bête de mettre des habits pareils. Tu ne trouves pas ?

Attendant maintenant une réponse en ayant toujours ses habits sous les yeux et ayant bien envie de les jeter tellement ils ont l’air fichu par le sang des deux bandits. D’ailleurs, j’ai oublié d’envoyer le croc mort cherché les corps, on devra aller le lui dire avant de partir, sinon demain matin, on va se faire tirer les oreilles avec Ender.

Je la fixe du regard et la vois glousser pour me dire que si un jour l occasion de la laver se présente c'est qu'elle ne puisse vraiment pas le faire elle même, car elle ne se laisserait pas faire. Je lui réponds avec un ton ironique.

- Comme si moi je voulais me laisser faire hein ? Et puis qui sait comme moi t'apprécierais peut être.

À cette pensée je ne peux me retire de rigoler, mais il fut de courte durée, car une trompe d'eau me tombe sur la figure influencée par la magie de Sélène. Le rinçage ne dura que quelques instants, mais ce fut plus que n’effilasse plus aucune trace de savons sur mon corps, sélène pris une serviette et me la posa sur la tête avent de sortir, elle ajouta qu'elle allait me prendre mes vetement. Je me lève et commence à me sécher complètement des pâttes au oreilles. Sélène me fait bien comprendre qu'elle a soif et son ventre trahi également son appetit et qu'il commence a être tard, il est vrai que moi aussi je commence à avoir faim. Je répondis en rigolan à sélène.

- Tout à fait d'accord avec toi enfin surtout avec ton ventre.

Je continu de me sécher et sorti de la "salle de torture" quand sélène m'interpelle me demandant si je n’ai pas d’autres fringues, car ceux-ci sont pleins de sang. Sans dire un mot, je sors de la pièce et passe dans la porte qui donne au dortoir et je rejoins mon espace. J'ouvre l'armoire qui'est à ma disposition et mit un beau haut à manche courte, un long pantalon et une ceinture. Une foi habillé et près je retourne dans la salle où est sélène m'approchant d'elle à la limite de la toucher pour prendre dans mes vêtements usés la paire de lunettes de mon père que je pose immédiatement sur mon museau. Après cela je pris la direction de la sorti tendent le bras la main avec révérence à sélène.

- Si vous voulez bien vous donner la peine très chère, un bon repas nous attend sous cette belle nuit que vous illuminez de vos yeux.

Un peu de poésie ne fait pas de mal, puis après tout j'apprécie parler comme ça.

Pas faux, lui non plus ne voulait pas, au point de menacer comme il se doit le doc. Mais je ne suis pas sûr d’aimer cela comme lui, je connais un requin qui le fait si bien que c’est dur de l’égalé un minimum. Mais passons, car il m’avoue ensuite être d’accord avec mon ventre, ce qui me fait glousser un peu. Par contre, je me suis senti bête quand je me suis rendu compte de son absence sous son silence vis-à-vis de ma question.

Cela veut surement dire oui, étant allé chercher des propres, d’ailleurs, revient rapidement fraichement vêtu. Mais le renard me surprend quand il récupère une paire de lunettes dans ses vêtements souiller, ne me souvenant pas qu’il en portait à notre rencontre.

Mais j’oublie ça bien vite sous ses paroles de poète, qui me font grandement sourire, quand il parle que nous allons manger, disant alors :

- Avec plaisir Ender et j’ai tellement faim que le premier resto, bar ou auberge qu’on croisera me suffirait.

Passant donc devant sous son invitation, mais avant qu’on ne parte de la milice, je dis à Ender :

- tu peux m’attendre devant ? je vais juste avertir le croc mort pour les deux bandits morts, afin qu’il aille les chercher pour ne pas les laisser dans la rue jusqu’au réveil des habitants. D’ailleurs, j’espère qu’il a arrêté de pleuvoir, je n’ai pas envie d’être à nouveau trempé.

Et de faire ce que je dis avant de revenir auprès du renard, attendant le verdict de sa part vis-à-vis du temps qu’ils nous conduisent vers notre point de chute pour boire, manger et discuter.

Je la vois sourire à mes paroles, elle me répond en me disant qu'elle a terriblement faim et que le premiers resto, bar ou auberge fera l'affaire, elle passe donc devant moi et ouvre la voie dans les couloirs de la milice. Nous avançons ensemble, mais une foi proche de la sorti elle me demande de l'attendre devant la milice le temps qu'elle aille voire le croc mort pour qu'il s'occupe des deux bandits que nous avons eus plus tôt dans la soirée, elle me demande également de vérifier le temps qu'il fait affin de savoir si la pluie avait cessé de tomber, je n’ai vraiment pas envie d'une seconde douche.

- Avec plaisir je t'attends à l'entrée.

Je me dirige à l'entré de la milice et a première vus la pluie a finit de tombé et le ciel est dégagé. En attendent Sélène je tape la discussion avec l'un de mes collègues qui est de garde pour la nuit. Quelques minutes plus tard la voilà qui repointe le bout de son museau.

- On peut y aller ? Comme tu peux le voir, il ne pleut plus.

Sans attendre sa réponse, je dis à plus à mon collègue près de la porte et pris la direction du centre de la ville afin de trouver un lieu ou nous poser.