Dragon à tête d'ange... Ou presque!

L'équipement de votre personnage.

À part ses propres habits, Ziu ne possède rien d'autre. Même pas un souvenir de sa mère, qu'il aime beaucoup... Il garde en mémoire sa douceur et ses chansons douces.

Physique de votre personnage

L'esclave est un dragon de couleur noir et bleu éclatant. La plupart du corps est noir avec, comme sur le museau ou les épaules, des écailles bleues. L'avant de son corps est de couleur bleu, le torse est bien plus voyant que le ventre qui est plus sombre. Il a aussi deux cornes sur la tête d'une dizaine de centimètres, mais elles se voient peu à cause de ses oreilles qui sont plutôt grandes. Ses yeux sont d'un bleu clair, comme sa langue et ses cheveux. D'ailleurs, ces derniers sont mis-long. Il arrive parfois au jeune homme de les attacher quand il a trop chaud.

Ziu n'est pas très grand, des pieds à la tête, il fait un mètre soixante-cinq pour cinquante-trois kilos, ce qui lui donne une allure élancer. Sa queue en elle-même est de taille moyenne, moins d'un mètre. Ses ailes ouvertes font une envergure de deux mètres. Cela fait de lui un petit bonhomme, même s'il ouvre ses ailes pour paraître impressionnant. Son physique enfantin, efféminer le rend mignon, attachant.

Le jeune dragon possède des vêtements qui sont en mauvais état. Un pantalon noir défraîchis et un peu trouer, ainsi qu'un haut gris, dans le même était. Il lui arrive d'avoir un gilet sur lui, mais que quand son maître estime qu'il fait froid...

Note moins agréable. Le dragon possède des cicatrices dans le dos et les fesses. Des coups de fouet, donner par le vendeur et par la suite, le boulanger, à cause du comportement, irrespectueux de Ziu. Et oui, l'adorable dragon à tête d'ange n'est pas si sage.

Psychologie de votre personnage

Ziu fait enfantin avec son physique, mais aussi dans sa façon d'être. Pas dans le sens, aime jouer tout le temps, faire le fou, etc... Plus dans le sens où il s'énerve vite et s'obstine pour à rien, même si ce qu'il fait ou dit est faux. Quand il est comme ça, il peut vite devenir insultant envers la personne en face de lui. Même si c'est un client qui peut devenir son futur maître. Ce comportement lui faut à chaque fois, de la part de son vendeur, dix coups de fouet... Malgré qu'il essaye de faire son fier, non-peureux, l'esclave se crispe à chaque fois qu'il entend un bruit similaire à ceux des coups de fouet... Avec ce genre de mal aise, il est un peu refermé sur lui-même. Ceci continue même après qu'il est été vendu. Le boulanger n'hésitant pas à le punir de cette façon pour avoir la paix.

Mais entre tout cas, le dragon peut se montrer très serviable. Il aime bien cuisinier, surtout si c'est des gâteaux. Il peut se montrer très appliqué dans ses tâches, s'il s'en donne la peine bien sûr. Il a eut la chance d'avoir appris à lire et à écrire avec sa mère avant qu'elle ne parte. Mais entre les deux, il préfère lire et c'est ce qu'il fait quand il le peut. Du moins, quand son vendeur laisse traîner un livre ou deux. Le dragon à une sensation de légèreté en lisant, comme libre. Cela lui fait oublier, le mal de dos. Avec le boulanger, il peut lire un peu plus à sa guise. Il y a toujours un livre ou deux de recette qui traîne et il n'a pas besoin de ce cacher pour ça.

L'histoire de votre personnage

Le jeune homme est né esclave, sa vie est donc courte et peu attractive. Agathe Ranges, la mère de Ziu, était une belle dragonne bleue ciel, aux quelques reflets un peu plus foncés. Mack Ranges, son père, était un dragon noir comme le charbon, mais avec des beaux yeux bleus. Voilà pourquoi Ziu est un beau dragon noir avec de belles couleurs bleu néon à certains endroits. Ses parents possédaient un petit commerce de tissus. Ils avaient assemblé leurs passions, qui sont pour Agathe la couture et Mack, le commerce. Rien ne pouvait les arrêter! Enfin c'est ce qu'ils pensaient...

Avec la concurrence autour, et quelques erreures de gestion, le couple du faire des emprunts pour pouvoir vivre. Avec ça une mauvaise ambiance s'installa entre les deux amoureux : les disputes sont fréquentes et bruyantes, les reproches à l'un et à l'autre. Rien de bien agréable pour l'entourage, ou pour leur futur enfant, tout rcement mis en route. les choses allèrenent de mal en pis, et les dettes ne purent être honorées, en générant de nouvelles, chez des créanciers aux pratiques un peu plus douteuses. Le jour où leur commerce dû fermer définitivement, une violente dispute éclata entre les deux époux. Si violente, que le père de Ziu y perdit la vie. Comment ? Agathe lui avait donné un coup de vase sur la tête, et lorsque ce dernier se brisa, il lui ouvrit le crâne. Le sang perdu fut mortel.

Elle ne cacha pas son crime, et fut rapidement jugée. Sa sentence ? Elle fut mise en esclavage, malgré la prise en compte de sa grossesse, et fut vendue à un marchand qui se fournissait régulièrement auprès de la couronne. Étant largement enceinte, le marchand s'occupa bien d'elle. Ne voulant pas qu'elle manque de quoi que ce soit. Son intention était de la vendre à une famille ayant besoin d'une nourice pour des nouveaux nés, ce qu'il trouva rapidement, trois semaines après. Agathe fut cédée à une famille de noblesse humble, des barons, et surtout désargentée, qui ne pouvait se permettre de s'acheter en urgence une esclave avec des références plus glorieuses. Le couple Litsan, des furry chats, venait d'avoir un fils encore nouveau né : Etienne, un joli chaton marron clair, comme son père. La mère, au délicat pelage blanc et à la santé fragile, était dans l'incapacité de nourrir son enfant avec son lait maternel. Le prix de la dragonne étant peu élevé, le couple l'acheta sans soucis. La petite famille lui donna une chambre, miteuse mais assez grande pour accueillir plus tard Ziu.
Une semaine plus tard, Agathe accouchait de son adorable bambin écailleux, et se mit rapidement à s'occuper des deux enfants les nourrissant, les gardant quand les Litssan n'étaient pas présents, et les éduquants.
Le couple prit soin d'Agathe, qui leur rendit en s'occupant du mieux qu'elle pouvait de leur enfant, comme si ça avait été le sien. Les années passèrent et une sorte de complicité s'installa entre les deux jeune garçons. Ils s'amusaient ensemble, et Ziu put même profiter un peu, par l'intermédiaire de son frère de lait, de l'éducation plus complète qu'il reçut, et aprit à lire, écrire, et à compter.

Bien sûr, plus le dragon grandissait, plus le couple lui demandait de faire des tâches ménagères dans la maison. Enfant, Ziu n'écouta pas toujours et fit pas mal de bêtises. Toutefois, à huit ans, quand il devint évident qu'il n'était pas necessaire d'avoir autant d'esclaves, le couple dut à contrecoeur se défaire de Ziu : ils ne pouvaient se permettre de nourir une bouche inutile. Ils décidèrent de revendre le dragon à un marchand d'esclave. A partir de ce moment, il n'eut plus jamais l'occasion de revoir sa mère, ou son frère de lait, et commença à avoir un comportement désagréable.

Le vendeur qui le prit était un ours. Sympathique avec ses clients, mais un peu moins avec ses marchandises. Ziu n'est pas une exception. Vu que le dragon avait décidé de faire le rebelle, à ne pas écouter et devenir insultant envers lui et les clients. L'ours le punissait en le fouettant. Selon la bêtise, les coups étaient plus au moins fort, ainsi que la durée.

Quelques mois après, alors qu'il avait juste fêté ses neuf ans. Le dragon fut vendu à un boulanger qui se fichait bien de savoir ce que pouvait penser le dragon de lui. Les insultes ne l'atteignaient pas, il n'avait qu'à le punir pour qu'il se taise quelque temps. L'esclave ne servait que d'homme de ménage dans sa boulangerie, ainsi que de vendeur au début.

Ziu montra rapidement un intérêt pour le métier et le boulanger compris vite l'intéret qu'il pouvait en tirer.  Il lui apprit le métier, du moins la base. Comme la préparation de du pétrin, le pétrissage, le levage : cela permettait au boulanger de se reposer un peu plus. Un matin, alors qu'il se levait pour retrouver le dragon, il le vit commencer à préparer le pain seul, ainsi que tout le reste. Il le regarda faire, et lui donna même des conseils, que Ziu suivit scrupuleusement, afin d'en faire à partir de ce moment-là officielement son assistant.

Le boulanger le traita toujours de la même façon, mais plutôt justement. Si le dragon n'avait pas écouté correctement les consignes ou encore était devenue insultant, il le punissait. Soit par privation de nourriture, de lit ou si c'était plus grave, il suivait le conseil du vendeur : les coups de fouet. Si Ziu se tient bien, il le récompense parfois.

Les années passèrent et le dragon est resté avec ce boulanger, qui malgré son caractère de cochon, apprécie bien cet esclave. Ziu aide toujours dans la boulangerie et dans la demeure du boulanger. Sortant pour les courses ou livraison, rêvant un jour de pouvoir prendre la place de son maître.