Le poison n'est pas qu'une arme de femme.[Terminée]

L'équipement de votre personnage.

-Une rapière : En bon noble qui se respecte, Lence devait apprendre la maniement des armes. Mais trop faible pour les armes lourdes et n'aimant pas les armes de jets, il se tourne alors vers l'escrime, qu'il adora immédiatement. Il s'y entraine chaque jours plusieurs heures. C'est donc tout naturel pour lui de porter une rapière qu'il manie avec excellence.

-Une bourse : Remplie de Cerithis, il est noble avec beaucoup de richesse.

-Des habits, riches, qu'il porte très près du corps, ce qui l'allonge un peu et lui donne un côté très sec.

Physique de votre personnage

Un rat au pelage blond, aux yeux noirs et à la voix bienveillante. C'est ce qu'on raconte quand on parle de Lence H. Deceive. Une silhouette droite, un bras arqué derrière son dos, l'autre devant son ventre, avec de bonnes manières. C'est ce qu'on se remémore lorsqu'on cherche à se souvenir de lui. Bien sous tout rapports en société, il est aimable avec les enfants, charmant avec les dames, respectueux envers les maris.

Ce n'est pas le même tableau que vous peindront les jeunes filles qui sont passées sous son service personnel. Un monstre, déliée, aliéné, une bête féroce, un rictus déformé par des dents pointues. Une maigreur extrême qui fait ressortir ses muscles maigres. Un rire narquois et terrifiant, tout semble aller dans le même sens. C'est un démon.

En duel, c'est un combattant agile et très rapide, excellent escrimeur, il s'illustre par sa maitrise de la rapière dont peu peuvent se vanter de surpasser. Lence H. Deceive joue sur ses pieds agiles et le contre-poids que lui offre sa queue afin d'être stable et habile à la fois.

Psychologie de votre personnage

Lence H. Deceive est un être amovible, il s'adapte toujours à la situation à laquelle il fait face, en société, il se fera une joie d'être moralisateur, bien pensant, loyal envers son bon roi et porteur des bonnes mœurs. Il est aimable avec tout le monde, même ses esclaves, qu'il traite avec respect et justice.

Mais en réalité, il ne désire qu'abattre chacune des personnes qu'il considère comme ses rivaux. Pas nécessairement les tuer, la mort n'est pas obligatoire. Son plus grand plaisir est de voir ses ennemis réduit à l'impuissance découvrir par eux même qu'ils ont été trompé. Ce défaut causera sa perte, il le sait, mais il ne peut se passer de cette mise en scène.

C'est un être sournois qui n'aura de cesse de vous tourmenter à coups de manipulations, de mensonges et de tromperies. C'est un jeu auquel il excelle. C'est un très bon menteur et son image politiquement correcte l'éloigne d'emblée des premiers soupçons; ce qui lui donne le temps d'agir pour s'éloigner des suivants. Sans parler de ses délires sexuels, qu'il exerce avec délectation sur des jeunes esclaves enlevée à leur famille à l'autre bout du continent. Il passe pour cela, par des contrebandiers, ils serait fâcheux de finir en prison pour quelque chose d'aussi...futile.

L'histoire de votre personnage

Wuldwig Erecton avait été arrêté. Le jeune Lence H. Deceive, fils de Lord Pendle H. Deceive souriait à l'écoute de la rumeur. Sir Erecton avait accusé d'un complot visant à attenter à la vie d'Helena Curtis, une jeune noble qui avait refusé ses avances. Des preuves avaient-été trouvées chez lui, notamment la commande d'un poison puissant. La commande était adressée à un marchand connu pour être un imbécile fini, n'ayant aucune idée de ce qu'il vend comme produit. Ca avait été un jeu d'enfant.

Lence avait provoqué la rencontre des deux jeunes gens, avait fait en sorte de décrédibiliser dans l'ombre Wuldwig et de glisser chez lui la fameuse note. Tout c'était déroulé comme prévu, ça avait été simple. Ce cher Wuldwig aurait du y réfléchir à deux fois avant de proférer des mensonges sur la famille Deceive.

Il savait maintenant que les H. Deceive n'étaient pas des esclavagistes, ni des sorcier maléfiques, ni des brigands, mais qu'il valait mieux ne pas les contrarier. Le père de Lence entra soudain dans la salle, il semblait mécontent.

-Lence...pourquoi as-tu fais ça ? Ne t'ai-je pas enseigné que dans ces cas là, un duel était la meilleur façon de résoudre le conflit ?
-C'est en connaissant les règles qu'on déstabilise ses adversaires père.

Ce dernier sorti en levant ses yeux au ciel. Tel fut la première victime de la fourberie de Lence H. Deceive, mais surtout pas la dernière.