Scampinou [Fiche finie !]

• Scamp

• Skepsi

• /

• 22 ans.

• Toutou

• Mâle.

• Bi.

• Citoyen.

Scamp prend soin de lui, probablement autant qu'une noble superficielle. Il apprécie passer du temps à brosser absolument tout son corps, s'occuper soigneusement de sa toilette générale et de son hygiène, faire attention à ce qu'il porte, il se parfume même pratiquement chaque matin. Et, en outre, il porte une bague symbolisant une plume. Scamp est très efféminé dans sa façon d'être et de se déplacer. Même ses formes, au niveau des hanches et des fesses, font penser, de dos, à un corps féminin. Scamp est presque androgyne, en fait.

Il arrive au toutou de se laver deux fois par jour, quand il en a l'occasion. Vous le comprenez aisément, Scamp prend grandement soin de lui, ce qui lui vaut beaucoup de compliment sur son physique. Et ce même si son corps est caché sous un vaste et soyeux manteau de teinte foncée, et dont certaines zones se sont vues voir coudre des pièces métalliques dorées. Un bon bandit vous dira que c'est certainement idiot de se cacher sous un vêtement qui attire autant l’œil.

Scamp est un danseur, il pratique cet art depuis qu'il est tout petit, et fascine le public qui a la chance de le regarder se mouvoir gracieusement. Les plus flatteurs iront dire qu'il a été béni par Kokta elle-même pour être aussi subjugant dans ses pas flottants et sensuels. En-dehors de ses instants de danse, Scamp est plutôt en arrière, et n'aime pas vraiment être au devant de la scène. Faisant qu'il est, finalement, rare d'avoir l'occasion de voir Scamp danser.  Ce qui ne l'empêche pas de danser pour lui-même, quand il est seul, ou quand il ne remarque pas le regard d'un discret spectateur.

Scamp possède une tenue de danse, dont le modèle est inspiré des danseurs et danseuses de Keh'Faria, avec notamment ses tissus volants, faite pour des mouvements inspirant la sensualité.

Quand il ne danse pas, Scamp porte des habits plus classiques, rien de bien notable. En outre, il porte une bague en or, dont le motif ressemble à plusieurs plumes enlaçant le doigt de son porteur. Les plumes renvoient à la Déesse Kokta, dont elles sont l'un des symboles.

Encore plus précieux que cette bague, Scamp possède un cadeau venant de son père, cher à son coeur : deux chakrams, qui sont aussi utilisables en tant qu'accessoires de danse. Mais surtout, en plus d'avoir été forgés par son père-même, ils ont été enchantés par ce dernier. Un enchantement dit "vital", les chakrams ponctionnent la magie de Scamp pour, dans un premier temps, s'illuminer, utile notamment pour la scène ; et dans un second temps, les chakram s'enveloppent de lumière, d'un rayon plus grand que celui des objets, leur donnant visuellement une allure bien plus dangereuse et impressionnante à voir, ainsi qu'une capacité à éclairer plus grande.

Uniquement pour les personnages orientés vers la magie. Indiquez les disciplines connues, une Majeure et une Mineure max, ainsi que les limites et les capacités possédées grâce à ces disciplines. L'utilisation de magie doit être amplement justifiée dans la partie histoire.

Magie majeure : Lumière.
Scamp a passé plusieurs années à l'Académie, lors de son enfance. Plutôt que d'apprendre à développer tous les usages possibles de sa magie, Scamp s'est contenté d'apprendre à contrôler quelques deux facultés qu'ils semblent posséder :
-Celle concernant ses armes, il est retenu à l'Académie vers ses seize ans pour s'assurer de maîtriser l'aspect magique de ses chakrams.
-Et un pouvoir de "flash". Sans chercher à appliquer de contrôle, Scamp peut libérer un flash aveuglant un instant ceux qui le regardent. Ainsi, Scamp doit utiliser une quantité modérée d'énergie. Scamp pour aussi réduire l'intensité de son flash, et simplement illuminer son corps. Cette fois, c'est la durée qui demande une quantité de plus en plus importante d'énergie, une quantité largement rentabilisé par la beauté du spectacle qui peut être alors offert.

- Qualités : Gentil, doux, optimiste, affectueux.
- Défauts : Insouciant, pudique, relativement peu autonome, est du genre à faire confiance à partir de rien.
- Goûts/Aime : La danse et son pôpa.
- Dégoûts/Déteste : La violence injustifiée, être de force au devant de la scène.

Scamp aime énormément danser, depuis sa petite enfance. Il danse pour lui-même, ou pour son papa chéri. Et parfois, il accepte de danser pour le plaisir d'autrui. En revanche, danser pour autrui peut gêner le pauvre toutou, par sa pudeur naturelle qu'il a acquis en grandissant. Quand il était contraint et forcé de danser, Scamp n'y voyait alors pas un problème de liberté, mais vraiment de pudeur. Il aime danser, mais il arrive qu'il n'aime pas qu'on le regarde. Sa pudeur est grande notamment dans deux situations : Quand Scamp est le centre d'attention d'un public devant lequel il n'a pas envie d'attirer l'attention ; quand Scamp est projeté dans un cadre "sexuelle" (allant de la simple main aux fesses à la relation concrète) avec, là aussi, une personne avec qui il ne souhaite pas en avoir (ou plus simplement, ça arrive aussi quand il est pris par surprise).

Entre la grande foule et la forte intimité, se trouve quand même un domaine où Scamp se semble bien plus à l'aise : Le privé. Quand Scamp est en petit groupe, et qu'il n'a pas à être le centre de l'attention, ou quand il est face à une ou seulement deux-trois personnes, Scamp n'est plus pudique ou timide, il n'hésite pas à parler, porter des compliments sincères pour le bien de ses interlocuteurs, et à être de bonne compagnie.

En effet, Scamp a une certaine habitude à complimenter ses interlocuteurs. Non pas pour les flatter, mais plutôt dans l'optique de redonner confiance en ses derniers. Partant du principe qu'un compliment et un sourire peut égayer la journée d'une personne. En outre, Scamp tente d'être le plus optimiste possible. Même s'il ne l'est pas véritablement, il essaye au moins de l'être en façade, ne serait-ce que pour se convaincre lui-même dans les pires situations.

Il s'essaye à être optimiste car son papa l'est. Scamp aime son père et le voit comme le meilleur modèle du monde, et se dit que c'est en essayant de lui ressembler qu'il sera lui-même une bonne personne. Scamp aime et admire son papa, il adore aussi parler de lui et dire aux autres à quel point il est exceptionnel.

Scamp n’est pas né dans une famille noble, mais il eut une enfance bien gâtée. Sa mère étant tristement morte à sa naissance, son père s’est démené pour offrir la vie la plus confortable et heureuse possible à son fils unique. Sa mère était servante depuis son jeune âge au château royal, elle s’occupait des chambres et travaillait en tant qu’échanson lors des évènements royaux. Son père était, et demeure, un forgeron et enchanteur, il fait travailler de père ses deux compétences pour vendre à prix d’or ses œuvres d’artisan. A la naissance de Scamp, Cairn -son père- s’était décidé à franchir la ligne de l’illégalité pour aussi vendre ses armes et armures à des bandits, sous anonymat. En outre, entre deux commandes, il lui arrivait d’user de sa vieille licence d’aventurier pour partir en mission en compagnie d’amis aventuriers, là aussi dans le principal but de donner une vie confortable à son fils chéri.

Cairn est un bon vivant et un père affectif, même s’il regrette sincèrement le décès de sa bien-aimée, jamais il n’eut aimé autant une personne que son petit Scamp. Rapidement, ils ont eu une relation extrêmement fusionnelle, Cairn était non seulement un père présent aimant, mais aussi un soutient inébranlable pour soutenir son fils à aller de l’avant. Notamment, à vaincre sa pudeur quand Scamp commençait à craindre la foule. Cairn a donné énormément, et effectué des sacrifices pour le bien de son fils, et il ne le regrette absolument pas.

Scamp eut une bonne éducation. Pas une éducation stricte comme les enfants nobles, mais une tout de même complète. Notamment dans le domaine de la magie, Scamp avait rejoint l’Académie tôt, et y passa plusieurs années pour y apprendre tranquillement à contrôler les dons dont il faisait preuve. Scamp avait beau être un élève sage et attentif, il ne se destinait pas à être mage, ni à pousser ses compétences au-delà ce qu’il savait maintenant faire. Vers ses douze ans, il quittait pour de bon l’Académie, après environ trois années d’apprentissage, dont il gardera des bons souvenirs.
Scamp put alors se consacrer plus entièrement à sa passion grandissante : la danse. Scamp aime énormément danser, surtout quand il danse pour son père, et qu’il le voit apprécier ces petits spectacles privés. Il eut aussi l’occasion de faire des représentations devant des amis et des collègues de son père. Un soir, il avait même eu l’occasion de danser devant des inconnus : Cairn l’avait emmené dans une taverne (Oui, Cairn avait beau être très aimant, il n’était pas le plus responsable pour autant) et l’avait convaincu de se lancer. Probablement la première fois que Scamp dut affronter autant sa timidité. Mais il réussit, il lui avait simplement fallu voir son papa d’amour sourire pour se lancer, naturellement, à son aise habituelle lorsqu’il danse.

Quand il approchait de l’âge adulte, Scamp exprimait à son père son envie de voyager, de voir le monde par lui-même, au-delà des livres et des récits. Naturellement inquiet pour son fils, Cairn essaya de le préparer le plus possible, pour s’assurer qu’il ne lui arrive aucun mal quand il volera de ses propres ailes. Cairn lui racontait alors ses quelques expériences, ainsi que celles de ses quelques amis qui ont déjà voyagé loin dans les côtes, et même au-delà. Exposer un aspect théorique était très insuffisant pour le papa, qui craignait toujours que du mal tombe sur son fils chéri lorsqu’il voyagera, il décida alors de directement faire quelques voyages avec lui, pour qu’il se forge un début d’expérience, sous son regard et sa protection rapprochée.

Et quand Scamp fut adulte, le triste jour arriva : il « pouvait » voyager par lui-même. Cairn ne voyait pas quoi lui apporter de plus, ils avaient voyagé, il lui avait montré le plus de choses possibles, il lui avait fait apprendre par cœur l’emplacement de tous les villages et toutes les auberges des côtes de Jhess pour qu’il puisse se mettre en sécurité en cas de problème. En outre, entre temps, il avait pris le temps de lui forger deux armes, enfin, deux chakrams, enchantés, pour qu’il puisse se protéger lui-même. Bien entendu, Scamp avait appris auprès d’un maître d’arme à se défendre, et auprès d’un expert en arme enchantée pour se servir de ses chakrams. Ce cadeau, en plus de venir de son père, portait en quelque sorte un symbole de liberté, le symbole qu’il pouvait à présent voler de ses propres ailes, que Scamp avait la bénédiction de son père pour partir voyager et explorer le continent. … à condition qu’il revienne entre temps pour rassurer son père, quand même !

Ainsi petit Scamp s’en allait faire sa première expédition, en promettant à son père de lui raconter tout dans les moindres détails à son retour.

- Quel est le niveau d'instruction de votre personnage ?
Scamp sait parfaitement lire et écrire. Il a des connaissances générales sur plusieurs domaines, sans non plus être un grand érudit. Il doit, tout de même, rester au-dessus de la moyenne en terme d'éducation parmi les gens de sa génération.

- Quel dieu(x) votre personnage apprécie-t-il de prier ?
Scamp respecte les Dieux et les Religieux, mais lui-même ne prie que rarement, tout bêtement parce qu'il n'y pense pas. Quand il se sent désespéré et nécessiteux d'une aide extérieure, il se tourne généralement vers Kokta.

- Quel est l'avis de votre personnage sur l'esclavagisme ?
Scamp n'a pas un avis poussé sur l'esclavagisme, il ne l'a jamais été lui-même, et n'en a jamais vraiment rencontré. Il est tout de même dégoûté à l'idée qu'un maître soit odieux envers son esclave, et estime qu'il faudrait être sévère, mais juste, avec les maîtres abusifs.

- Quel est l'avis de votre personnage sur la royauté Cerithienne ?
Scamp apprécierait énormément rencontrer les membres de la royauté, surtout sa Majesté Orchal, et avoir la chance de converser avec eux. Il respecte la monarchie en place.

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